lundi 11 octobre 2010

Sur les Traces de Gavalda...

J'aimerais vous présenter une 'tite nouvelle dans ma bibliothèque...

Lors de mon dernier passage dans l'Ouest, au cours d'une sortie (devenue quasi obligatoire) à la FNAC, où sur ma shopping list je n'avais prévu de me prendre que deux livres (...de Camilla Läckberg...histoire de continuer dans le polar suédois...on vous en parlera certainement une autre fois...), je me laisse guider au fil du rayon des Nouveautés.

Une pensée me vient “Tiens, si je me trouvais un petit roman de poche, frais et facile à lire". Au même moment, mes yeux s'arrêtèrent sur une couverture bleue assortie d'un tandem et d'un titre chantant:

"A Mélie sans Mélo". "Tiens, ça me plait bien comme titre...de Barbara Constantine...Inconnue aux bataillons...”

Je n'ai pas été déçue, il m'a semblé lire un roman qui aurait été ecrit par une cousine germaine d'Anna Gavalda....

Mais de quoi ça parle?

Mélie, soixante-douze ans, vit seule à la campagne. Sa petite-fille, Clara, vient pour la première fois passer toutes les vacances d’été chez elle. La veille de son arrivée, Mélie apprend qu’elle a un problème de santé… Elle verra ça plus tard. La priorité, c’est sa Clarinette chérie ! Mélie, le mélo, c’est pas son truc. Elle va passer l’été (le dernier ?) à fabriquer des souvenirs à Clara. Des rigolos. Comme regarder pousser les bambous en écoutant La Traviata, chanter sous la pluie des chansons de Nougaro, goûter les mauvaises herbes qui poussent le long des chemins. Il y a aussi… le vieux Marcel, qui va apprendre à Clara à faire de la mécanique, Fanette, sa mère, qui va lui trouver un beau-père, Bello, son parrain, qui va agrandir sa bande de filleuls musiciens. Et puis, comme la vie est vraiment dingue des fois, il y a Mélie qui va enfin rencontrer le grand amour… Cent cinquante ans à eux deux ? Mais quand on aime, on ne compte pas !”

A Mélie, sans mélo” est juste un petit bonheur de 247 pages qui vous fait replonger dans vos souvenirs d'enfance, dans ces moments passés à la campagne chez Papy-Mamy-Pépé-Mémé à écosser des haricots, à ramasser des fraises dans le jardin de la Gazaie, à courir dans les champs du Rocher...Que de bons souvenirs d'enfance. Qu'est-ce qu'on donnerait cher pour en revivre un tout petit instant.....

Nostalgie, nostalgie quand tu nous tiens....

Un de mes passages préférés est dédié à toutes les Mamies dynamiques. Et puis, Mélie c'est un peu ma Mamy...

Et puis Mélie est allée prendre son cours d'espagnol chez Pépé. Ils font du troc. Une heure d'espagnol contre trois pots de confiture de cerise. […] Elle sait déjà quelques petites phrases simples. ¡Hola! ¿Cómo te llamas? Me llamo Mélie. Me gusta mucho Colombia. Adiós y muchas gracias.” Page 69.

Pour finir ce post, une chanson qui parle de souvenirs d'enfance, de genoux ecorchés et de Papy-Mamy-Pépé-Mémé ...



La Grande

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